Et si ton corps savait déjà comment lâcher prise ?
- Clinispa Kaméva

- 29 oct.
- 2 min de lecture
Notre corps a une mémoire silencieuse.Il garde la trace des tensions, du stress, des émotions refoulées et de ces moments où l’on a choisi de tenir bon plutôt que de ralentir.
Ce qu’on croit avoir “géré” ne disparaît pas complètement.Cela se dépose — parfois dans la mâchoire, le ventre, les épaules ou le souffle.Et un jour, ces zones parlent.Elles demandent une chose simple : relâcher.
Chez Clinispa Kaméva, on observe chaque jour comment le corps exprime ce qu’il n’a pas pu dire autrement.Le lâcher-prise devient alors plus qu’une idée : une véritable science du rééquilibrage.
Le rôle du système nerveux : comprendre la science du lâcher-prise
Notre système nerveux agit comme un régulateur entre deux états :
le système sympathique, responsable de l’action et de la vigilance ;
le système parasympathique, associé à la détente, à la digestion et à la régénération.
Lorsqu’on vit du stress, des non-dits ou de la surcharge émotionnelle, le corps reste bloqué dans un état d’alerte.Les muscles se contractent, la respiration devient courte, et le sommeil se fragilise.
C’est ici que le lâcher-prise corporel prend tout son sens :en activant le système parasympathique, on permet au corps de rentrer dans son mode de réparation naturelle.Relâcher devient un geste physiologique — pas seulement psychologique.
En résumé : le lâcher-prise, c’est redonner la parole au système nerveux pour qu’il retrouve son équilibre.
Le lien entre émotions, respiration et circulation
Chaque tension physique est souvent le reflet d’une émotion non exprimée.Une peur dans le ventre, une responsabilité sur les épaules, une colère dans la gorge.
Quand on retient, on bloque la circulation :
celle de l’énergie,
celle de la respiration,
et même celle des idées.
À l’inverse, lorsqu’on respire profondément et qu’on relâche consciemment, on recrée du mouvement, de la fluidité.La détente rétablit la communication entre le corps et l’esprit — et permet à la santé intégrative de reprendre sa place.
Perspective Kaméva : relâcher, c’est faire de la place au vivant
Chez Kaméva, nous voyons chaque signal du corps comme un messager.Un mal de dos, une fatigue, une tension ne sont pas des erreurs — ce sont des informations précieuses.
Le lâcher-prise ne veut pas dire abandonner ou renoncer.C’est au contraire faire de la place à ce qui cherche à circuler librement.C’est choisir la douceur plutôt que la résistance,l’écoute plutôt que le contrôle,la régénération plutôt que la performance.
Que ce soit à travers la massothérapie thérapeutique, la psychologie, la podologie ou le coaching en habitudes de vie,chaque service Kaméva vise à ramener le corps dans son intelligence naturelle : celle du rythme, de la cohérence et de la présence.
Et si ton corps savait déjà ce qu’il doit relâcher ?
Et si tu faisais confiance à ton corps pour relâcher ce qui n’a plus besoin d’être porté ?Pas en forçant, mais en permettant.
Parce que le vrai lâcher-prise ne se commande pas.Il s’invite quand on commence à écouter.
Le corps sait. Il te suffit de lui faire un peu de place.





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